Carmel de La Vierge Missionnaire
Le père Marie-Michel Hostalier, un ancien carme incardiné dans le diocèse de Valence, a été renvoyé de l'état clérical pour des délits graves sur des adultes. La décision a été prise à la suite d'informations reçues par l'évêché de Valence concernant le prêtre, qui aurait commis des actes répréhensibles envers des femmes majeures. Les faits remonteraient à de nombreuses années et auraient été commis dans le cadre de l'accompagnement spirituel.
Marie-Michel Hostalier avait été ordonné prêtre en 1982, après avoir été membre de l'ordre des carmes. Il avait participé à la fondation de l'école d'évangélisation « Jeunesse Lumière » en 1984 aux côtés du père Daniel-Ange. Par la suite, en 1997, il avait cofondé le Carmel de Marie Vierge Missionnaire avec le frère Marie-Van, près de Dieulefit dans la Drôme. Cette petite communauté contemplative, mariale et missionnaire d'hommes et de femmes, vit selon la spiritualité de sainte Thérèse de Lisieux et de Marcel Van.
En 2010, Marie-Michel Hostalier avait été incardiné comme prêtre diocésain dans le diocèse de Valence, après avoir été longtemps resté carme avec le statut d'exclaustration. En 2018, il avait été accueilli dans le diocèse de Toulon par Mgr Dominique Rey pour une période d'un an. L'évêque de Toulon avait nommé un assistant ecclésiastique pour l'accompagner, lui et une religieuse, dans son projet de fondation d'une nouvelle communauté qui serait appelée « Communion du Cœur immaculé de Marie ».
Cependant, en juin 2019, un décret du diocèse de Valence adressé au diocèse de Toulon faisant état d'un « ascendant psychologique » du père Hostalier sur des personnes et d'« actes plus graves » avait mis un stop à l'expérimentation. Mgr Rey avait alors demandé au prêtre de quitter tout ministère.
Les évêques des diocèses de Valence et de Toulon ont exprimé leur douleur et leur soutien aux victimes des agissements de Marie-Michel Hostalier. Dans un communiqué publié le 10 septembre sur le site du diocèse de Valence, ils ont déclaré que « l'évêque de Valence et toute l'Église diocésaine expriment aux personnes victimes leur douleur, et les assurent de leur soutien ».
Cette affaire met en lumière la question de l'accompagnement spirituel et de la responsabilité des prêtres et des religieux dans leur relation avec les fidèles. Elle rappelle également l'importance de la transparence et de la responsabilité de l'Église en matière de protection des victimes d'abus sexuels.
Marie-Michel Hostalier avait été ordonné prêtre en 1982, après avoir été membre de l'ordre des carmes. Il avait participé à la fondation de l'école d'évangélisation « Jeunesse Lumière » en 1984 aux côtés du père Daniel-Ange. Par la suite, en 1997, il avait cofondé le Carmel de Marie Vierge Missionnaire avec le frère Marie-Van, près de Dieulefit dans la Drôme. Cette petite communauté contemplative, mariale et missionnaire d'hommes et de femmes, vit selon la spiritualité de sainte Thérèse de Lisieux et de Marcel Van.
En 2010, Marie-Michel Hostalier avait été incardiné comme prêtre diocésain dans le diocèse de Valence, après avoir été longtemps resté carme avec le statut d'exclaustration. En 2018, il avait été accueilli dans le diocèse de Toulon par Mgr Dominique Rey pour une période d'un an. L'évêque de Toulon avait nommé un assistant ecclésiastique pour l'accompagner, lui et une religieuse, dans son projet de fondation d'une nouvelle communauté qui serait appelée « Communion du Cœur immaculé de Marie ».
Cependant, en juin 2019, un décret du diocèse de Valence adressé au diocèse de Toulon faisant état d'un « ascendant psychologique » du père Hostalier sur des personnes et d'« actes plus graves » avait mis un stop à l'expérimentation. Mgr Rey avait alors demandé au prêtre de quitter tout ministère.
Les évêques des diocèses de Valence et de Toulon ont exprimé leur douleur et leur soutien aux victimes des agissements de Marie-Michel Hostalier. Dans un communiqué publié le 10 septembre sur le site du diocèse de Valence, ils ont déclaré que « l'évêque de Valence et toute l'Église diocésaine expriment aux personnes victimes leur douleur, et les assurent de leur soutien ».
Cette affaire met en lumière la question de l'accompagnement spirituel et de la responsabilité des prêtres et des religieux dans leur relation avec les fidèles. Elle rappelle également l'importance de la transparence et de la responsabilité de l'Église en matière de protection des victimes d'abus sexuels.
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