MIVILUDES

(Wikipédia).
En dépit de l’annonce de la dissolution de la MIVILUDES à la fin de l’année 2019, une longue période de doutes avait suivi au cours de laquelle les dérives sectaires avaient foisonné dans différents mouvements, renforcées en outre par la pandémie de Covid-19 qui a permis le développement de multiples petites structures, de fausses thérapies, et de mouvements complotistes.
« Force est de constater que le phénomène des dérives sectaires demeure prégnant ; il se renforce même au travers de formes renouvelées – de nouvelles radicalités préjudiciables à l’individu apparaissent »,
constatait Marlène Schiappa, Ministre de la Citoyenneté au cours de l’automne 2020.
La MIVILUDES est désormais présidée par le préfet Christian GRAVEL qui dirige le SG-CIDPR (Comité Interministériel de la Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation), et dirigée par une magistrate, Madame Hanène ROMDHANE qui peut s’appuyer sur des experts réunis dans un Conseil d’Orientation. Ce sont surtout les thérapies alternatives et les fausses guérisons qui soucient les Pouvoirs Publics.
On retrouve également ces dérives dans différentes communautés religieuses qui ont développé sans contrôle sérieux une offre pléthorique de sessions sur ces sujets : guérisons, délivrances, exorcismes…
On retrouve également dans la mouvance « antivax » des mouvements traditionalistes à propos desquels nous émettons des réserves. Sur ces sujets sensibles les autorités religieuses devraient davantage tenir compte et prendre au sérieux des avis de la MIVILUDES. »
Pour d'autres informations, consultez notre rubrique > MIVILUDES Mode d'emploi
On peut avec profit consulter son site : https://www.derives-sectes.gouv.fr/
Mis à jour le 16/01/2022