CCBF : Les abus au coeur du débat
Les abus sont au cœur du débat sociétal.
Que ce soit dans le monde du sport, de l’Éducation, dans les milieux du cinéma, dans les mouvements de jeunesse, et aussi au cœur même des familles, partout les abus sont dénoncés et les langues se libèrent : nous sommes dans la société civile où l’abus s’appuie sur l’autorité naturelle des adultes, des parents, des professeurs, des coachs, des vedettes, des écrivains en vogue, etc…
Mais il est des milieux où, si les abus sont également présents, le scandale est encore moins supportable : c’est celui des églises et des cultes. Là où l’autorité est d’une autre nature car elle est spirituelle et s’appuie sur l'Être le plus transcendant, Dieu. Du moins se présente-t-elle ainsi.
C’est pourquoi, un colloque à été organisé en janvier 2021, dans le cadre des Rendez-vous de la CCBF, sur le thème « Les abus dans l’Église et les dégâts du cléricalisme ».
- Anne MARDON, dont les ouvrages sont répertoriés sur notre site dans les > Lectures conseillées du menu « Ressources ».
- Olivier SAVIGNAC président de Parler et Revivre, et une membre de « Foi et Résilience ».
- Antoine GARAPON, magistrat, membre de > la CIASE, co-auteur du document « Victimes, et après ? » paru chez Gallimard, participait également à cet échange.
- Aymeri SUAREZ-PAZOS au nom de l’AVREF et des victimes que nous écoutons et accompagnons depuis plus de vingt ans.
Nous mettons ci-dessous des liens qui vous permettent de visionner ce débat et les différentes interventions.
Rendez-vous CCBF : 30/01/2021 - 1ère partie
Rendez-vous CCBF - 30/01/2021 - 2ème partie
La Conférence Catholique des baptisé‑e‑s Francophones,
se présente ainsi sur son site > baptises.fr :
La CCBF est un espace de dialogue, de débat et de communion créé fin 2009. Elle désire créer un esprit de responsabilité de tous les baptisé‑e‑s catholiques francophones en les persuadant de devenir acteurs de la vie actuelle de l’Église et d’inventer celle de demain par une ouverture au monde fondée sur les valeurs évangéliques.
La Conférence, mouvement laïc, ne souhaite donc pas posséder d’existence juridique, ni civile, ni canonique. Elle est présidé par Paule ZELLITCH prenant la suite d’Anne SOUPA.
Les baptisé-e-s catholiques considèrent de leur devoir de constituer un pôle d’opinion entendu et respecté dans le débat public. Cette prise de conscience passe aussi par des gestes, des initiatives, des audaces, car réflexion et action s’entraînent mutuellement. La CCBF doit donc permettre des activités concrètes qu’elle a vocation non à assurer directement et durablement, mais à susciter et à accompagner.
Avec sa devise « Ni partir, ni se taire » la CCBF a pour objectif "une égale dignité dans la Tradition au service du Christ".